Le 12 juillet 2003,Simon Jossimec , est percuté sur le bas-côté d'une route peu fréquentée en Espagne. Témoin du drame, son épouse , Dominique explique à la police qu'il y a eu une anomalie au niveau d'une roue, Simon est descendu, elle n'a rien entendu, seulement vu passer un 4x4. Mais les policiers espagnols tiquent car les roues n'ont aucun défaut, la route est rectiligne, et le sol ne témoigne d'aucune trace de freinage. Ils conservent le pantalon de Simon, sur lequel un large pneu a laissé son empreinte. Puis ils autorisent Dominique à faire incinérer le corps, trois jours après l'accident